
Elle offre des services de psychothérapie individuelle qui s’adressent à des adultes présentant des problématiques variées. Formée principalement dans une approche humaniste/existentielle, son travail s’inspire de la Psychothérapie gestaltiste des relations d’objets (PGRO). Elle travaille ainsi dans une posture où les relations sont au premier plan, incluant la relation thérapeutique elle-même.
Mylène conçoit la psychothérapie comme une plongée à l’intérieur de soi – plongée souvent autant magnifique qu’inconfortable – visant à mieux se connaître, à trouver du sens à son expérience, et à améliorer son contact avec soi-même et avec les autres. Son rôle en est un d’accompagnement dans cette expérience qu’elle souhaite profondément transformatrice et pleine de richesses.
Expériences professionnelles
Dans le cadre de ses études doctorales, Mylène a effectué ses stages cliniques au sein de cliniques universitaires (Centre de services psychologiques de l’UQÀM et Service de consultation de l’École de psychologie de l’Université Laval), ainsi qu’en cabinet privé, parmi l’équipe de Réseau SAGESSE, où elle a par la suite entamé sa pratique privée. Ces expériences lui ont donné l’occasion d’accompagner des gens aux profils et besoins divers, bien qu’elles aient surtout mis sur son chemin des personnes vivant des difficultés relationnelles, des gens présentant des problématiques d’ordre alimentaire ainsi que des nouveaux parents désireux de mieux comprendre la crise suscitée par l’arrivée d’un enfant dans leur vie. Elle a eu l’occasion de suivre quelques cours spécialisés en psychologie périnatale au fil de sa formation doctorale.
Intérêts particuliers
Mylène aime accompagner des personnes aux prises avec diverses problématiques telles des difficultés relationnelles, des troubles anxieux et de l’humeur, une fragilité de l’estime de soi ou encore une crise développementale. Elle s’intéresse d’ailleurs aux enjeux psychologiques et développementaux des nouveaux et/ou futurs parents. Par ailleurs, son projet de recherche doctoral portait sur l’impact d’une pièce de théâtre documentaire traitant de procréation assistée sur les membres du public.